Notre Dame de Paris

« C’est une histoire qui touche tout le monde. Ce sont des principes, des traits de société qui ont toujours existé que ce soit la jalousie, l’exclusion des préjugés, il y a tout. Je crois que la plus grande magie, à mes yeux, a été l’unité, l’affection qui a lié les artistes entre eux, il y a eu une réelle tendresse sur scène comme dans la vie. On s’auto protégeait les uns des autres. La deuxième magie, ça a été l’accueil du « tout public » qui s’est laissé entraîner du début à la fin dans l’histoire. »

Super

 

Esméralda

« Chacun a sa vision d’Esméralda. Esméralda a 16 ans, elle n’est pas provocante, Esméralda est libre et douce. J’ai essayé de jouer mon rôle de la manière la plus proche de ma personnalité, de façon à être plus crédible dans mes sentiments. Non, ça a été passionnant, il n’y a pas un soir où le rideau n’est pas tombé sans que j’ai versé une larme ou que je ne sois vidée parce que je vivais les mêmes émotions qu’elle au moment où elle a été torturée, au moment où elle était complètement traînée dans la boue, je me sentais comme ça, je me sentais bafouée comme elle et c’était passionnant de découvrir ça. »

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